Le mort qu'il faut / Jorge Semprun,...

Livre

Semprun, Jorge (1923-....)

Edité par Gallimard | 2001

Le Mort qu'il faut est un récit roman autobiographique de Jorge Semprún qui se déroule dans le camp de concentration de Buchenwald.

Vérification des exemplaires disponibles ...

Où trouver le document ?

Suggestions

Du même auteur

L' écriture ou la vie / Jorge Semprun | Semprun, Jorge (1923-....)

L' écriture ou la vie / Jorge Semprun

Livre | Semprun, Jorge (1923-....) | 1994

Le contexte socio-historique est évoqué avant d'entreprendre l'étude de l'oeuvre, de ses structures et caractéristiques stylistiques. Des travaux d'écriture (sujets type du Bac) permettent de réinvestir les compétences acquises.

Vingt ans et un jour / Jorge Semprun | Semprun, Jorge (1923-....)

Vingt ans et un jour / Jorge Semprun

Livre | Semprun, Jorge (1923-....) | 2003

Vingt ans et un jour est la peine que la justice franquiste réservait aux dirigeants politiques de l'opposition clandestine. Jorge Semprun, nous offre, sous ce titre, le portrait intime d'une Espagne toujours meurtrie par la guerre mais qui rêve d'avenir e...

Se taire est impossible / Semprun, Wiesel | Semprun, Jorge (1923-....)

Se taire est impossible / Semprun, Wiesel

Livre | Semprun, Jorge (1923-....) | 1995

En savoir plus

Biographie

En 1966, il demande aux autorités espagnoles un passeport officiel qui lui est accordé avec réticence, compte tenu de son passé. Il peut ainsi circuler librement entre l'Espagne et la France où il continue de résider. En 1969, Jorge Semprún participe à la création des éditions Champ libre aux côtés de Gérard Lebovici. De 1988 à 1991, Jorge Semprún occupe le poste de ministre de la Culture dans le gouvernement socialiste de Felipe González. Dans cette fonction, il se trouve en conflit avec Alfonso Guerra, numéro 2 du PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol). En 1991, il quitte le gouvernement, Felipe González ayant décidé de couvrir des affaires de corruption incriminant Alfonso Guerra — c'est l'explication qu'il donne dans son ouvrage Federico Sánchez vous salue bien. Il apparaît cependant que Guerra, impliqué dans un scandale lié à l'enrichissement de son frère, a démissionné du gouvernement le 15 janvier 1991, soit en fait trois mois avant le remaniement qui voit le départ de Semprún. Celui-ci a durement critiqué Guerra, le considérant comme un « opportuniste sans autre ligne politique claire que celle de tenter de se situer de manière populiste et démagogique à la gauche de ceux qui sont à gauche ». Peut-être victime de son franc-parler, Jorge Semprún reste malgré tout en bonne intelligence avec Felipe González. En 1989, il participe à la veillée funèbre de Dolores Ibárruri, ainsi que Fernando Claudín.