Squadra Criminale / réalisé par Gagliardi Giuseppe
Gagliardi Giuseppe, Corbucci Claudio, Leone (valeria Ferro) Miriam, Martari (andrea Russo) Matteo, Guerritore (lucia Ferro) Monica, Trabacchi (giorgio Lombardi) Thomas, Terracciano Luca, Lombardo Riccardo, Iacopini (giacomo Ferro) Davide, Sartoretto (michela) Viola, Deglaudi (costanza) Crystal, Alberti (giulio Ferro) Gigio, Marco Tognazzi (giancarlo Damiano) Gian, Arduino Giulia, Migliaccio (renzo) Francesco, Fusetti (rosa Damiano) Iris, Gavarotti (anna) Silvia, Alovisio (castelli) Ivan, Moscarello (chiara Ferrero) Cecilia, Leone Miriam, Martari Matteo, Guerritore Monica, Trabacchi Thomas, Giorgetti Florence, Iacopini Davide
Vidéo en ligne
2016
Retrouvez la saison 3 de Squadra Criminale : Miriam Leone renfile son uniforme de capitaine pour une troisième saison d'une grande noirceur, écrasée par le poids des secrets familiaux. Saison 1 : Douze meurtres. Douze histoires de crimes... Capitaine à la brigade criminelle de Turin, Valeria Ferro est une enquêtrice aussi tenace que talentueuse. Elle semble posséder un sixième sens pour reconstituer le puzzle complexe de chaque affaire tout en luttant contre les fantômes de son passé. Ceux-ci resurgissent violemment dans sa vie au moment où sa mère est libérée de prison. Saison 2 : Capitaine ultrasensible de la brigade criminelle de Turin, la belle Valeria Ferro revient pour une nouvelle salve d'âpres enquêtes, dévoilant un autre visage de l'Italie d'aujourd'hui. Saison 3 : L'atmosphère froide et industrielle de la ville de Turin correspond décidément parfaitement à Squadra criminale, dont la troisième saison se noue principalement autour d'enjeux familiaux. Miriam Leone, toujours impeccable en capitaine de police matraquée par les tragédies humaines qu'elle affronte, semble rattachée à la vie uniquement par un fil fragile, qui s'étiole à chaque disparition. Les enquêtes, épaissies par le brouillard des médicaments qu'elle avale, interrogent avec obstination la fragilité du lien humain et pointent la solitude des criminels, loin de tout manichéisme. Chaque dénouement rappelle le goût amer de la vérité, sa vanité, souvent, au regard d'existences brisées.